L'armement

Le célèbre canon de 75 français était servi par une équipe bien organisée, chaque homme ayant une fonction précise pour assurer la rapidité du tir.
En face, l’armée allemande disposait notamment du canon de 77, ici photographié endommagé après les combats.

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A gauche : une pièce d’artillerie lourde de 155, installée sommairement dans une tranchée, illustre la puissance de feu mobilisée sur le front.
A droite : l’apparition des premiers chars, comme ce tank britannique anéanti, montrait les nouvelles armes de la guerre industrielle.

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À Berzieux, de faux canons en bois formaient une batterie factice destinée à tromper l’ennemi et détourner ses tirs.
Le camp d’artillerie de Belrupt, en 1916, rappelle au contraire l’importance des chevaux et des charrettes dans la logistique quotidienne.

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